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3 juillet 2007 2 03 /07 /juillet /2007 01:18
DSC02463.JPG 
     Comprenne qui voudra
   Moi mon remords ce fut
   La malheureuse qui resta
   Sur le pavé
   La victime raisonnable
   À la robe déchirée
   Au regard d’enfant perdue
   Découronnée défigurée
   Celle qui ressemble aux morts
   Qui sont morts pour être aimés 

    
                                          Eluard


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J’ai deux mois.
Je suis une petite chatte.

La famille dans laquelle je vis quittera bientôt la maison en campagne pour des raisons personnelles.
Et je ne pourrai pas la suivre.

On devait me recueillir mais cela ne s’est pas fait..
Mes quatre frères et sœurs ont été adoptés.
Il ne reste que moi.
Voudriez-vous de moi ?
 
Si oui, écrivez  à m’illumino d’immenso
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21 juin 2007 4 21 /06 /juin /2007 16:48



Syrah, le berger Allemand
&
Hane, la petite chatte


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Amis comme chien et chat !

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16 juin 2007 6 16 /06 /juin /2007 22:15
                                                      
   Blog-fete-des-peres1.jpg     ponpon.jpg

Le Berger Jean Baptiste            Fernandel, Josette Day et Ponette
         et Ponette



Mai 1949  : Pagnol tourne la fille du puisatier à Lancon de Provence.

Avec les gueules inouabliables de ces années de cinéma , immenses acteurs et des scènes ciselées dans l’émotion la plus pure du geant Marcel Pagnol.
 
Et la musique de Vincent Scotto
 
Mon père, jeune berger Piemontais, garde le troupeau près du village, à deux pas du tournage.
Marcel Pagnol se présente un jour au Mas Saint Antoine, là ou les bêtes rentrent le soir et s’approchant , lui dit : «  Monsieur le Berger, nous prêteriez-vous votre âne un jour ou deux ; nous le traiterons bien  »
Ponette, la petite anesse grise ne sait pas ce jour-là qu’elle va devenir la partenaire de Fernandel et de Josette Day..
 
Vous vous souvenez de ce beau film :
Patricia, la fille du puisatier Pascal Amoretti, se retrouve enceinte de Jacques Mazel, un jeune aviateur, fils de bonne famille. Or celui-ci est mobilisé et ses parents refusent de reconnaître l'enfant. Amoretti chasse sa fille de la maison. Peu après, Jacques Mazel est porté disparu, son avion s'étant écrasé en flammes derrière les lignes allemandes. Puis survient l'armistice...
 
Felipe ( Fernandel ) entourera fidèlement Patricia de son amour et c’est entre Lançon et la Base de Salon de Provence, dans les roseaux d’une rivière que Ponette assistera à la déclaration d’amour du jeune assistant puisatier à la jolie fille de la bourgeoisie Salonaise.
 
Ponette, merveilleuse petite anesse grise et blanche, amie du troupeau et pour deux jours partenaire et témoin de l’amour infini de Felipe Fernandel et Patricia Josette Day.
  
Un beau souvenir …
 
Dédié à mon père.
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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 16:08
 
       Trouvé récemment dans un vide greniers ce poème d’un auteur inconnu ou l’assemblage est harmonieux et le sens, vieille France.
      Mais les traditions ne sont elles pas des changements d’habitude que nous voudrions conserver ?
 
 
 
 
 
 
                                   LE DEVOIR DE CE MONDE
 
                                                     Sonnet

 
Avoir une maison propre plutôt que belle,
Un jardin plein de fruits grand ouvert aux passants,
Pour orner ses vieux jours avoir beaucoup d’enfants,
Posséder une épouse à qui l’on soit fidèle.
 
Tout donner à la vie et n’attendre rien d’elle,
Consacrer au devoir chacun de ses instants,
Chercher toujours « le mieux », ménager peu son temps,
S’efforcer en tous points de servir de modèle.
 
Penser à son salut, louer Dieu, vivre droit,
Travailler pour les siens plus encor que pour soi,
Faire qu’aucun d’entre eux ne souffre ou ne pâtisse.
 
Traiter ses ennemis sans rancune et sans fiel,
A la bonté parfois préférer la justice…
C’est supporter la Terre en supportant le Ciel !
 
                   Eugène LAPANNE
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3 juin 2007 7 03 /06 /juin /2007 00:31
                                                                             MeresFeteDSouvenir.jpg


 
 
La Madre
 
1930
 
E il cuore quando d’un ultimo battito
Avrà fatto cadere il muro d’ombra
Per condurmi, Madre, sino al Signore
Come una volta mi darai la mano
 
 
 
In ginocchia, decisa,
Sarai una statua davanti all’ Eterno,
Come già ti vedeva
Quando eri ancora in vita.
 
 
Alzerai tremante le vecchie braccia
come quando spirasti
dicendo : Moi Dio, eccomi.
 
 
E solo quando m’avrà perdonato
Ti verrà desiderio di guardarmi.
 
Ricorderai d’avermi atteso tanto
E avrai negli occhi un rapido sospiro.
 
Ungaretti
 
«  m’illumino
       D’immenso  »
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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 16:28



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Bienvenue dans mon blog !

 
Pour une belle et longue histoire ...
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