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Ce chat n'est plus revenu à son domicile depuis 3 jours.
Commune de Grans
Si vous le voyez, merci de faire signe !

Hier soir, samedi, 19 heures.
Je roule lentement et cherche à me garer. Je vais passer devant le commissariat de la police municipale, je vois les feux arrière d’une somptueuse BMW noire s’allumer et je comprends qu’elle va reculer. J’observe le conducteur, imprudent et irréfléchi, continuer sa marche arrière. Je klaxonne intempestivement pour l’alerter…ce moment terrible où l’on a plus le temps de réagir et où plus rien ne peut être maitrisé. Une fraction de seconde et c’est le choc, il m’emboutit brutalement.
Je me gare sur le coté et je descends de ma voiture pour constater les dégâts. Lui aussi descend et viens vers moi avec une allure de « kakou ». Je lui dis « mais vous n’avez pas entendu, je vous ai klaxonné », il répond l’air indifférent et mauvais « j’ai entendu mais je n’ai pas réagi à temps ».
«  Nous allons faire le constat, lui dis-je » ; les mains dans les poches il répond en regardant sa voiture rutilante: « j’en ai rien à faire de votre poubelle, je ne fais pas de constat ! ».
Je lui dis «  si vous faites cela, j’appelle la police »
- Appelez-les, ils sont là, devant vous, répond-il en me montrant le commissariat.
Je me précipite vers le commissariat mais, hélas, il est fermé, les lumières sont éteintes.
J’entends un bruit de moteur, je me retourne ; la crapule est montée dans sa voiture et manœuvre pour partir. Je l’interpelle, « ne partez pas !». Trop tard, il commence à rouler et me fait un doigt d’honneur avec un vulgaire « Va te faire foutre !»
Je bondis sur un vieux journal, cherche un stylo dans ma poche, note le numéro de la plaque d’immatriculation.
Je vois la voiture de la canaille disparaitre.
Il mesure 1m 80 environ, un peu dégarni, de l’embonpoint, un beau blouson noir, vulgaire dans sa dégaine et son langage, donnant l’impression de n’avoir peur de rien.
J’ai réfléchi sur ce qu’il pouvait être : un voleur de voiture, un truand, un escroc ou bien tout simplement un homme méprisable qui refusait de faire un constat pour ne pas altérer son bonus.
C’est le mot racaille qui m’est venu à l’esprit.

Marie n’a plus le choix ; elle va déménager dans un appartement trop petit.

Le cœur serré, elle doit se séparer de Chipie, 6 ans, croisée Berger Allemand /Malamute polaire.

Chipie est docile et douce, aime les câlins et les balades. Elle est habituée à coucher dehors mais préfère un jardin clos.

Marie la donne à des Maitres qui sauront prendre soin d’elle et l’aimer.
Elle donne également sa niche.

               Si vous voulez adopter Chipie, écrivez-moi sur le blog 
                        ou téléphonez à Marie  au 06.01.15.80.00

                      ORANGE FRANCE TELECOM

        L’ESCALADE DES NON-CONFORMITES

Depuis le 6 avril je n’ai plus accès à internet ni lignes téléphoniques !
Une partie des services a été remise en place la semaine passée.

Motif de l’incident :
Une erreur grossière d’un collaborateur (ou collaboratrice) de France Télécom qui a débranché tous mes accès pour des motifs ignorés.
En tous cas par moi !

C’est la deuxième fois que cela se produit !

J’aurais l’occasion de revenir sur mon parcours du combattant pour retrouver mes moyens de communication et sur les graves disfonctionnements de Orange France Télécom ainsi que  sur le management transversal de cette Entreprise qui la déshumanise et  altère de façon navrante les relations Clients /Entreprise.
L’intervention d’un avocat a même été rendu nécessaire pour activer le processus.

Aujourd’hui  je souhaite simplement m’excuser auprès de tous mes contacts de ma non -disponibilité, de mes non-réponses ou de mes réponses tardives, de mon absence de réactivité professionnelle pendant presque un mois.

Les choses vont donc reprendre presque normalement….

J’accorde peu d’intérêt aux dates anniversaires. Ces portes que le temps dispose autour de nous et en jalonne notre vie.
Ces portes qui s’ouvrent chaque année avec vue sur les  vestiges ou  vertiges d’une vie passée et les mystères du temps qui restent.

Cela ressemble au bilan d’une entreprise avec son passif et son actif.

Le passif, quel mot terrible ! à l’époque où j’étais « banquier »  lorsqu’on disait ‘ « mon dieu, quel passif ! mais que peut-on faire avec un tel passif ? »

Cela ressemblait déjà à une vision d'un champ de ruines. L’actif, lui,  se situe toujours dans une normalité j’allais dire obligatoire, un lieu commun qui ne s’apprécie pas tellement dans l’exaltation. Encore faut-il que l’actif existe voire même qu’il soit conséquent pour être retenu et pris en compte !

Le voyage en retour n’étant plus possible nous ne pouvons que prendre acte des éléments du

 passif et de l’actif devenus pour toujours figés dans le temps et donc immuables.

 
La porte qui s’ouvre sur le futur permet des actions correctrices ou correctives sur les projets de vie qu’on sait limités par le temps et par les capacités physiques et intellectuelles .

L’anniversaire de naissance, lui, n’est  en fait que la commémoration de la farce joyeuse, ou  triste, ou lugubre que nos parents nous ont léguée en nous mettant au monde.

Alors fêter quoi ? Des années semeuses de chimères, qui chiffonnent les destins ?

La mondialisation ? vrai cancer de l’actualité brûlante.

La fracture sociale qui n’en finit plus de se fracturer ?

La déchirure politique qui a détruit les fils de la confiance entre les dirigeants et le peuple ?

J’aimerais bien qu’on m’explique, bien sûr, au delà du formalisme du rituel de la fête des soi-disant obligations qu’elle suscite. Au-delà aussi de l’invention des dieux parce que les hommes ont  peur de mourir …
J’aimerais bien…

Et puis..Lorsque vous ajoutez une année de plus à votre âge qui devient donc une année de moins à votre vie, l’anniversaire est-il alors une fête ou déjà le début d’un deuil ?

 A moins de penser qu'un jour tout sera bien et voilà notre espérance, qu'aujourd'hui tout est bien et voilà notre illusion. 

Alors, arrive le temps ou les anniversaires ne sont plus des fêtes..

                         Bonnes Pâques !
                           Quand même !