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         VINCERE

                    Réalisateur : Marco Bellochio

                    Ida Daiser : Giovanna Mezzogiorno

                    Benito Mussolini : Felippo Timi

« Les dictateurs exigent toujours d’être aimés avec les horreurs dues à leurs sang. »
                                                                   BM

la passion amoureuse de Ida Dalser pour le dictateur et la naissance d’un fils Benito Albino.

Ida rencontre Mussolini rencontre par hasard le jeune militant socialiste qui deviendra le duce ; elle en est follement amoureuse. Pour l'aider à financer son journal « le Peuple d’Italie  », point de départ du futur parti fasciste, elle vend tous ses biens... Lorsque la guerre éclate, Benito Mussolini s'engage et disparaît de la vie de la jeune maman, qui découvrira avec stupeur qu'il est déjà marié avec une autre femme. Ida n'aura dès lors de cesse de revendiquer sa qualité d'épouse légitime et de mère du fils aîné de Mussolini, mais sera systématiquement éloignée de force et son enfant mis dans un institut. Pourtant, elle ne se rendra jamais et ne cessera de revendiquer haut et fort sa vérité….

Un film éblouissant qui traduit bien les heures sombres de l’histoire Italienne pendant  ces années là…

Présenté cette année au Festival de Cannes.

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Photo  DESOLE,L'ARTICLE EST ILLISIBLE, IL SERA PUBLIE A NOUVEAU DANS LES HEURES QUI SUIVENT.
TOUTES MES EXCUSES
ALAIN   

Du 13 mai

Photo

Sorrente

Capri

Affiche du Film



Emmanuelle Devos et François Cluzet

Un drame moderne à la lisière du fantastique, sublimé par un casting parfait au sommet duquel trône François Cluzet dans son plus beau rôle, aux côtés d'une Emmanuelle Devos impeccable de justesse et un Depardieu parfois effrayant

"A l'origine" n'est pas seulement l'histoire d'un gigantesque abus de confiance dans un cadre romanesque qui touche au dépassement du mensonge et à l’attachante sympathie qui nous lie à cet escroc qui semble  sorti tout droit de la période de la Crise.
Un film qui happe dès les premières images et nous tient en haleine jusqu’au générique de fin.

A voir.....A voir.....A voir......A voir.......A voir.....A voir.....A voir...... voir.......

                                         

Le président Barack Obama s'est vu attribuer le prix Nobel de la paix 2009, vendredi 9 octobre, "pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples", a annoncé le jury du prix à Oslo.

Trop, c’est trop ! 10 mois après son élection on lui remet cette prestigieuse récompense.

Au moment ou le Sommet de Pittsburgh décide de rémunérer les traders selon résultats (ce qui est super bien !), on récompense le Président américain sur des résultats hypothétique à venir…

Et que fait-on des conflits non réglés : en Irak mais surtout en Afghanistan, où la situation se dégrade au point que certains évoquent un nouveau bourbier comparable au Vietnam.

Hors de question de remettre en cause la personnalité attachante de OBAMA, son désir de paix par la négociation et sa force de conviction.

Mais quand même ; offrir une récompense de ce niveau, d’un tel prestige à quelqu’un qui pour l’instant se débat dans un bourbier international et interne ( Des millions d’américains paient encore les subprimes), c’est débile.

Je me rassure quand je pense que la Franco-colombienne Ingrid Betancourt était sur les rangs pour percevoir le prix.

Mais  là, je  me  mettais  en  grève          illimité contre le prix Nobel de la Paix !

SEPTEMBRE A CHARLEVAL

LE MOIS DU PASTORALISME

« Bonjour, berger ! car lorsqu’on a mangé de votre pain et bu avec vous l’eau des neiges, qu’on a essuyé les mêmes orages mais rit haut et clair  aux mêmes soleils, on a beau quitter le bâton et le transformer en fétiche, on reste votre pour toujours ».

Marie MAURON

La Routo….

Exposition du 4 au 30 septembre

A la Bibliothèque les Livres de mon Moulin

Dans le  cadre des journées du Patrimoine

Au programme de l’année 2009 : le pastoralisme et à la transhumance.

                                          L’exposition prêtée par
                 l’Ecomusée du Pastoralisme de Pontebernardo,
 petit village des Alpes Italiennes, situé dans le cirque des Barricate de la     Valle Stura, sera présentée à la Bibliothèque tout le mois de septembre.

                                                         
                                                          Pontebernardo

L'exposition invite à prendre la route sur les pas des bergers originaires des vallées occitanes du Piémont, pour découvrir les relations continues entre la montagne et la plaine, entre les Alpes et la Provence. Textes, objets, images, documents d'archives évoquent les trajectoires des bergers et leur travail de l'époque de la transhumance à pieds jusqu'à nos jours.

Autrefois, Charleval était un chemin important de la transhumance.

Le troupeau de Maxime Trotabas, illustrera ce « voyage » le  samedi 19 dans le courant de l’après-midi. Vers 15 heures, les visiteurs pourront accompagner les bêtes du chemin des Arquières à la Place de la transhumance, à coté du cimetière.

Un moment fort en perspective.

Samedi 5 à 10h -  Cours de la République

                   
 
Les enfants ont été invités à réaliser un mouton en argile

avec l’atelier Poterie du Foyer Rural

Vendredi 18 à 18h30 -  bibliothèque

- Vernissage de l’exposition « La Routo »

- Conférence de Marc Vincent, INRA d’Avignon :

« Pastoralisme et le loup. Quelle cohabitation ? »

                (réservation conseillée)

Samedi 19 à 15h / dans le village

- Transhumance dans le village, jusqu’à la place de la

Transhumance

- Atelier de découverte sur l’agnelage

- Malle pédagogique de la transhumance destinée aux

enfants

Samedi 19 à 21h / bibliothèque

Veillée « Histoires de transhumance »

Animée par Alain Balbo, correspondant de la Provence

              (réservation conseillée)