J’ai le sentiment que pour faire beau dans le décor et laisser penser que " la justice est égale pour tous ", le Tribunal Correctionnel vient de condamner le Président Jacques Chirac à 2 ans de prison avec sursis.
Juger ainsi un homme amoindri physiquement, surement dans un état de dégénérescence évolutive et incapable de se défendre, me semble une forme d’excès de pouvoir dans un combat inégal.
En tous cas cette condamnation ne me semble pas être une belle valeur d’exemple de la part de ceux qui ont à charge de juger ; au-delà de la LOI, il y a aussi la mansuétude, l’humanité. Et après une période de 20 ans, il peut même exister le pardon.
La plus belle réponse de Jacques Chirac qui reste si présent affectivement dans le cœur des Français réside dans le fait qu’il renonce à faire appel. Après, chacun se débrouille avec sa conscience.
Son avocat, Jean Weil, a expliqué tout cela, à mots feutrés, sur BFM.